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SORÈZE 22 NOVEMBRE

Publié le par spaf mp

 

 

À LA UNE

 

Est-ce dû aux circonstances dramatiques? au temps brusquement refroidi? Toujours est-il que ce fut un salon "intimiste", pour reprendre l'heureuse trouvaille d'une participante.

Les poètes, eux, étaient venus comme les années précédentes s'installer avec plaisir dans la salle agréable mise à la disposition de la S.P.A.F. par l'Association pour le Développement des Animations Culturelles de Sorèze que préside Anne-Marie Denis.

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

Froid peut-être, mais soleil à travers les vitres et joie de se retrouver!

SORÈZE 22 NOVEMBRE

 

 

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

Anne-Marie-Vergnes, Michel et Éliane Léon.

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

Anne-Marie Forestier entourée de ses œuvres.

SORÈZE 22 NOVEMBRE

Guy Reydellet installant les siennes.

SORÈZE 22 NOVEMBRE

Deux Tarn-et-Garonnais, Richard Maggiore et Jacqueline Escorihuela.

    SORÈZE 22 NOVEMBRE     SORÈZE 22 NOVEMBRE SORÈZE 22 NOVEMBRE

Des sourires...

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE   ...et du sérieux. 

 

Le récital proposé par la délégation Midi-Pyrénées de la S.P.A.F. se déroulait cette année en fin de matinée. Roselyne Morandi avait agencé la succession des textes, choisis dans trois de nos recueils collectifs, de façon à mêler judicieusement l'humour et l'émotion.

SORÈZE 22 NOVEMBRE

 

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

                                             

SORÈZE 22 NOVEMBRE

 

SORÈZE 22 NOVEMBRE

 

 À LA UNE

 

 

 

 

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1994

Publié le par spaf mp

1994

 

Mar…tinet dans le ciel annonçant les retours

Celle… à qui je redis merci pour ses appuis

… same ouvrant mes vers au jury d’un concours

Gui…dant mes premiers pas moins hésitants depuis

 

 

 

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SUR M. RUFFIÉ

Publié le par spaf mp

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ILS NE M'ONT PAS LAISSÉ LE TEMPS

Publié le par spaf mp

Nous pourrons bientôt découvrir le dernier ouvrage de Michèle Griscelli, dont nous parle chaleureusement Mireille Turello-Vilbonnet.

 

ILS NE M'ONT PAS LAISSÉ LE TEMPS

 

 

« ILS NE M’ONT PAS LAISSÉ LE TEMPS … »

Tel est le titre de l’intéressant ouvrage publié par Michèle Griscelli que je viens de lire avec autant de bonheur pour la seconde fois (j’avais lu le tapuscrit).

Lecture particulièrement plaisante  grâce à un style clair, précis, qui ne s’encombre pas (comme tant d’autres aujourd’hui) d’une pléthore « d’effets de manche » littéraires aussi inutiles qu’ennuyeux. 

Suite d’articles séquentiels, ce récit facile d’accès, apporte au lecteur l’éclairage qui souvent  manque sur ce qu’on a appelé pudiquement « les évènements d’Algérie »  A l’époque  beaucoup  de « métropolitains »  emmurés   dans des obligations et des conflits intérieurs secondaires n’ont perçu cette épisode dramatique que de manière éthérée  alors qu’il s’agissait  d’un véritable basculement de l’histoire. 

L’auteur nous offre une lecture documentaire très étayée  mais ce qui constitue  toute l’originalité de l’œuvre c’est l’angle choisi afin de nous offrir des informations historiques  à travers la saga harmonieuse d’une famille et le regard d’une enfant « née là-bas » qui tente de décrypter, au milieu de ses petits bonheurs quotidiens, l’incompréhensible jargon des grands. 

Il est surprenant et attendrissant de constater combien Michèle Griscelli a pu conserver intacte la fraîcheur de ses ressentis enfantins : monde heureux inconditionnellement  contrastant avec  la violence, la cruauté de la folie humaine.

Instructif par ses données  historiques, parfois savoureux dans ses évocations familiales, toujours plein d’une pudeur qui  caractérise l’auteur  dans son attachement à ses racines, c’est avec une infinie réserve  mais une profonde nostalgie (versifiée avec talent) que Michèle nous livre, en toute simplicité, un moment déchirant de l’histoire qui, bien que  douloureux, demeure à tout jamais le pan ensoleillé de sa jeune vie. 

Félicitations et merci Michèle pour ce joli moment        

                                    Mireille TURELLO-VILBONNET

 

 

 

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UN ROMAN, DES POÈMES

Publié le par spaf mp

Gérard Muller a publié aux Presses littéraires un roman, Les lauzes de Jujols, et aux Éditions du Net un recueil de poèmes, À la vie, à la mort.

UN ROMAN, DES POÈMES

N.B. : outre le Grand Prix spécial de la S.P.A.F., G. Muller s'est vu décerné plusieurs récompenses dans diverses catégories du concours international 2016, dont le palmarès complet est visible sur ce même site dans sa section "Concours". 

 

UN ROMAN, DES POÈMES

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2 NOVEMBRE:JOUR DES DÉFUNTS

Publié le par spaf mp

 

Chrysanthèmes fleuris, évoquez leur mémoire

Et la fugacité de notre propre histoire.

 

2 Novembre : Jour des Défunts

 

Nous partons, un par un, nous dépeuplons les rues

Vers le vieux cimetière où des tombes ventrues

Recueillent quelques fleurs, tristement, humblement,

Sur le marbre parfois, le granit, le ciment.

L’assistance d’ici ne se veut point bavarde

La paix y règne en maître alors l’esprit musarde.

 

Ils sont partis déjà dans les ombres du vent

Mais je les sens si près, moi, triste survivant !

 

Ils n’ont pu s’éloigner, agrippés comme un lierre

Au cœur du souvenir imprégné dans la pierre.

Dans l’air environnant, un quelque chose d’eux

Demeure, à tout jamais, invisible à mes yeux.

Je les sens près de moi, présences secourables

Ils sont, de mon parcours, mânes impondérables.

 

Ils sont partis déjà dans les ombres du vent

Mais je les sens si près, moi, triste survivant !

 

Arrive la saison de joindre la cohorte

De tous ceux que j’aimais veillant à notre porte,

Le brouillard hermétique en prolongeant le noir,

Dans ma mémoire égrène un tintement d’espoir.

Sans crainte de la mort, calme et prête à la suivre,

J’admire le couchant qui se teinte de cuivre ;

Là mon corps enfoui dans un terrain fécond

Reposera sans croire en l’avenir second.

 

Ils sont partis déjà dans les ombres du vent

Mais je les sens si près, moi, triste survivant !

 

Mireille TURELLO-VILBONNET

 

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L'AMOUR DU VIN

Publié le par spaf mp

L’amour du vin

Je respire le sous-bois et l’humidité des feuilles,
La brume alcoolisée m’enivre doucement.
Je suis le verre, un reflet de bougie,
Le grenat d’un Merlot que nous partageons ensemble.
Un clair-obscur Syrah éclaire ton visage,
Je sens que tu me devines d’un fumet de cassis,
De la pierre à fusil illumine tes yeux,
Je suis ton Chardonnay mordoré de désir.
Mon sourire te caresse et le nectar me transperce,
Un frisson d’amour nous relie tous les deux,
Je suis le vin que tu bois sur mes lèvres trempées,
À la cuisse amollie et la rondeur divine.
Rosée d’un matin sur un cristal diaphane,
Ton palais devine mon impatience,
Mon premier bouquet a le goût du printemps.
Je suis long dans ta bouche,
Tu m’allonges sur ta couche,
Le vin décuple mes ardents baisers,
L’odeur de la paille avive nos émois.
Je suis en toi et tu t’enroules,
Liane amoureuse d’un céleste transport,
Nos sens explosent d’un champagne rosé,
Et ses bulles nous inondent d’une extase aérienne.
La bouteille est vide et nos corps sont repus,
La douce ivresse se repose alanguie
Et je rejoins ma vigne toujours recommencée.

Quand le vin est tiré, il faut toujours le boire.

G. Muller

 

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HOMMAGE AUX POÈTES DISPARUS

Publié le par spaf mp

 

Premier prix du sonnet à Lamalou-les-bains

 

Hommage aux poètes disparus 

 

J’ai vu le soleil noir de Gérard de Nerval

Se perdre dans l’obscur de sa mélancolie.

Le poète a souvent un germe de folie

Qui donne à sa palette un air de carnaval.

 

Les pieds dans les glaïeuls, notre dormeur du val

Imagine sa belle, elle était si jolie,

Avant de disparaître et rejoindre la lie,

Tué par son orgueil comme un dernier rival.

 

Sa voix douce et sonore en écho chez Verlaine

Résonne dans ses vers et sur la grande plaine,

Où sa lèvre se pose en délicate fleur.

 

La Nature est un temple où Baudelaire admire

Les parfums exaltés de la fraîche couleur

D’un matin de bohème où mon sonnet se mire.

 

G. MULLER

 

 

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NOUVEAU MEMBRE

Publié le par spaf mp

 La Dépêche du Midi, Haute-Garonne, 16 mai 2015

Gérard Muller : «Un écrivain c'est quelqu'un qui ose écrire»

 Gérard Muller, l'auteur du roman «Les lauzes de Jujols» publié aux Presses Littéraires./ DDM X. de Fenoyl

 
Gérard Muller, l'auteur du roman «Les lauzes de Jujols» publié aux Presses Littéraires./ DDM X. de Fenoyl
 

Ancien ingénieur dans l'industrie spatiale, expert en pilotage de satellites, Gérard Muller a tourné une page de sa vie en 2012. S'il a conservé une activité de consultant auprès de PME toulousaines, c'est à l'écriture que ce jeune auteur de 66 ans se consacre principalement à travers l'atelier qu'il anime au sein de l'association Philémon et à travers ses romans, dont le dernier «Les lauzes de Jujols» vient d'être publié aux Presses Littéraires.

Comment êtes-vous passé du pilotage de satellites à l'écriture ?

C'est un long mûrissement. J'ai toujours aimé écrire mais à part quelques poèmes ou quelques sketchs à l'occasion de fêtes, je n'avais jamais franchi le pas. Je me suis décidé après mon départ à la retraite à apprendre vraiment avec un coach en écriture comme cela se fait beaucoup aux Etats-Unis. Je me suis lancé avec lui dans un premier roman, il m'a aidé à découvrir mon style, m'a donné quelques trucs d'écrivains et ensuite il m'a lâché. Aujourd'hui, j'en suis à mon neuvième ouvrage, huit ont été publiés à compte d'auteur et sur Internet et le dernier, chez un véritable éditeur, avec une diffusion nationale. Je viens d'en terminer trois autres pour lesquels je suis à la recherche d'un éditeur.

Vous sentez-vous pleinement écrivain ?

Oui, cela commence. Je fais partie depuis quelques semaines du Centre régional des lettres Midi-Pyrénées. Mais pour moi, un écrivain c'est avant tout quelqu'un qui ose écrire, après, on est plus ou moins doué… Mais je me sens plutôt romancier. Je compte beaucoup sur ce premier roman publié par un véritable éditeur pour avoir un retour, une confrontation avec les lecteurs, une critique constructive. Car on écrit d'abord pour être lu.

Quelles sont vos sources d'inspiration ?

Ma vie et mes rencontres. Je pars le plus souvent d'un personnage que j'ai connu, d'un endroit que j'ai visité et mon histoire se construit toute seule. Quand je démarre un livre, je sais rarement comment il va se terminer. C'est ce qui s'est passé pour «Les lauzes de Jujols». Je me suis inspiré d'une histoire vraie : celle de ce petit village des Pyrénées-Orientales ressuscité par un animateur de la banlieue parisienne et que j'ai découvert en allant visiter les gorges de la Carança. Pour la suite, j'ai tout imaginé. J'ai fait de Jujols un lieu maudit au cœur d'une légende catalane et qui va reprendre vie à mesure que ses sauveurs vont exorciser leur passé douloureux.

Douze livres en trois ans, vous êtes prolifique ?

Je n'ai pas écrit pendant soixante ans. Ma créativité, mes expériences et mes voyages ne demandent qu'à s'exprimer. J'ai un réservoir dans lequel je puise, sans en connaître ni le fond ni les contours. Et j'ai toujours eu beaucoup d'imagination. Je n'ai pas encore connu l'angoisse de la page blanche car je n'ai aucun souci pour trouver des scénarios et que matériellement, je ne dépends pas de cette activité d'écriture. Après avoir trouvé une nouvelle idée, très vite, mon stylo écrit tout seul, je ressens une véritable jubilation, une jouissance intellectuelle et je deviens, comme le disait Aragon, le premier lecteur de mes romans.

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UN FILM

Publié le par spaf mp

 

Emma Bovary... toujours vivante!

 

Sophie Barthès, fille de notre adhérente Danielle Barthès, a réalisé une nouvelle adaptation du roman de Flaubert, Madame Bovary.

On peut en lire une analyse complète sur le blog de Chryseia, à l'adresse suivante:

https://litteraemeae.wordpress.com/2015/10/26/emma-identique-et-nouvelle/

 

Nous lui empruntons l'affiche du film,

Madame-Bovary-Theatrical2

 ainsi que quelques extraits:

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