-
LE PRÉDATEUR
LE PREDATEUR
Cet homme que tu vois baver,
Tu seras bientôt à sa place,
Car tu restas toujours de glace,
Sauf devant l'or, dès ton lever…
Plutôt qu'en des bras te lover,
Avec ton instinct lovelace
Et ton esprit qui s'entrelace
Au malheur facile à trouver ;
La môme rêve à ton pactole
Mais se contente d'une obole
Pour nourrir un enfant qu'elle eut
D'un suborneur de ton espèce
Qui court encor quand il le sut :
Paye très cher la brute épaisse !
-
Commentaires