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    L'auteur nous présente ainsi son roman:

    Bonjour les amis,

    Je vous informe que mon dernier roman est un polar qui se passe à Toulouse, sur les traces de C. Nougaro. Son titre : "Même les mémés aiment la castagne", éd. Les Presses Littéraires (http://www.lespresseslitteraires.com/index.html?menu=71289&id=71289&entree=1&c1=3&c2=&produit=260195)  Prix 10 €

    Si vous voulez me donner un coup de pouce, achetez-le sur FNAC.COM à : http://livre.fnac.com/a9617926/Gerard-Muller-Meme-les-memes-aiment-la-castagne

    Je pourrai ainsi monter dans le classement des meilleures ventes FNAC

    Sinon achetez-le chez votre libraire favori.

    Si vous voulez revisiter notre ville rose en bonne compagnie, n'hésitez pas. Si le roman vous a plu, faites-le savoir  à vos amis, à votre libraire, et faites le buzz sur les réseaux sociaux.

     

     

     

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  • Gérard Muller a publié aux Presses littéraires un roman, Les lauzes de Jujols, et aux Éditions du Net un recueil de poèmes, À la vie, à la mort.

    UN ROMAN, DES POÈMES

    N.B. : outre le Grand Prix spécial de la S.P.A.F., G. Muller s'est vu décerné plusieurs récompenses dans diverses catégories du concours international 2016, dont le palmarès complet est visible sur ce même site dans sa section "Concours". 

     

    UN ROMAN, DES POÈMES

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  • Les Rosati, prix anacréontique

    L’amour du vin

    Je respire le sous-bois et l’humidité des feuilles,
    La brume alcoolisée m’enivre doucement.
    Je suis le verre, un reflet de bougie,
    Le grenat d’un Merlot que nous partageons ensemble.
    Un clair-obscur Syrah éclaire ton visage,
    Je sens que tu me devines d’un fumet de cassis,
    De la pierre à fusil illumine tes yeux,
    Je suis ton Chardonnay mordoré de désir.
    Mon sourire te caresse et le nectar me transperce,
    Un frisson d’amour nous relie tous les deux,
    Je suis le vin que tu bois sur mes lèvres trempées,
    À la cuisse amollie et la rondeur divine.
    Rosée d’un matin sur un cristal diaphane,
    Ton palais devine mon impatience,
    Mon premier bouquet a le goût du printemps.
    Je suis long dans ta bouche,
    Tu m’allonges sur ta couche,
    Le vin décuple mes ardents baisers,
    L’odeur de la paille avive nos émois.
    Je suis en toi et tu t’enroules,
    Liane amoureuse d’un céleste transport,
    Nos sens explosent d’un champagne rosé,
    Et ses bulles nous inondent d’une extase aérienne.
    La bouteille est vide et nos corps sont repus,
    La douce ivresse se repose alanguie
    Et je rejoins ma vigne toujours recommencée.

    Quand le vin est tiré, il faut toujours le boire.

    G. Muller

     

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    Premier prix du sonnet à Lamalou-les-bains

     

    Hommage aux poètes disparus 

     

    J’ai vu le soleil noir de Gérard de Nerval

    Se perdre dans l’obscur de sa mélancolie.

    Le poète a souvent un germe de folie

    Qui donne à sa palette un air de carnaval.

     

    Les pieds dans les glaïeuls, notre dormeur du val

    Imagine sa belle, elle était si jolie,

    Avant de disparaître et rejoindre la lie,

    Tué par son orgueil comme un dernier rival.

     

    Sa voix douce et sonore en écho chez Verlaine

    Résonne dans ses vers et sur la grande plaine,

    Où sa lèvre se pose en délicate fleur.

     

    La Nature est un temple où Baudelaire admire

    Les parfums exaltés de la fraîche couleur

    D’un matin de bohème où mon sonnet se mire.

     

    G. MULLER

     

     

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